Emilie Roy 28 ans
Expériences de voyage pertinentes:
- 3 mois dans l'Ouest canadien (été 2002)
- 3 mois en Thaïlande (hiver 2006)
- 3 mois en République Dominicaine avec Plan Nagua et Québec sans frontières (été 2007)
Voyages avec Martin:
- 2 semaines en Islande (été 2008)
- 2 semaines en Espagne et au Portugal (été 2009)
- 1 semaine à Hawaï (automne 2010)
- 1 semaine en République Dominicaine (Nouvel An 2011)
Ce qui va te manquer le plus La sauce à spag de ma mère me manque déjà terriblement. Sinon, ma famille et mes amis.
Ce qui va te manquer le moins Les obligations de la vie quotidienne
Tes appréhensions J'ai déjà peur du retour.
Ta plus grande peur La mort, la maladie
Ta meilleure qualité, qui te servira pour le voyage Mon sens de l'organisation (combien de listes pré-départ j'ai pu faire!)
Ta dernière lecture «Demandez et vous recevrez» de Pierre Morency. Un cadeau de mon amie Sabrina qui résume assez bien ma façon de voir la vie.
Ce que tu souhaites améliorer Mon anglais
Ton plus grand défi Prendre une journée à la fois
La musique qui va t'accompagner Les sons ambiants
Ta plus grande hâte Me sentir chez moi ailleurs que chez moi
Ton idole Bruno Blanchet pour l'ensemble de son oeuvre. Je suis une fan finie.
En voyage, tu aimerais rencontrer Devinez!
Ce que tu manges pour être belle de même Un peu n'importe quoi, je ne suis pas tellement difficile. Je bois beaucoup d'eau et j'aime la bouffe santé. Mais mon réel secret: peu de viande, beaucoup de sucreries!
Ce qui t'inspire Les gens qui ont le courage de réaliser leurs rêves, quels qu'ils soient.
Ce que tu crois découvrir sur l'autre J'aimerais découvrir qu'il est capable de relaxer et qu'il sait apprécier les moments à ne rien faire.
Pourquoi partir un an? Pour ma part, je rêve de voir le monde depuis que je suis toute petite. D'où me vient cette idée? Je n'en sais rien. J'ai toujours eu comme objectif de partir à l'aventure pendant un an. Pour moi, une année, ça représente un cycle complet, un rond parfait, avec un début et une fin qui se joignent pour boucler la boucle. Un an, c'est assez long pour se sentir loin de chez soi, pour se mettre à l'épreuve, pour expérimenter un autre quotidien. Et pourquoi maintenant? Simplement parce que c'est maintenant que j'y suis prête, et que tous les éléments se sont, par eux-même, stratégiquement positionnés pour que le rêve devienne réalité. La vie a placé sur mon chemin un partenaire ayant les même idéaux que moi. Nous avons pu rêver à deux. Après 4 ans ensemble, après avoir acheté notre premier chez nous, après avoir testé notre complémentarité lors de courts séjours à l'étranger, nous avons la certitude de bien nous connaître et de former une équipe à toute épreuve. Pourquoi maintenant? C'est aussi parce que j'ai 28 ans, que je veux fonder une famille et que je sais que lorsque ce sera fait, nous aurons sans doute envie d'un peu de stabilité. Aussi, après 4 ans dans un travail que j'adorais mais infiniment stressant, j'ai eu envie de m'évader du quotidien. Oui pour réaliser un rêve, mais aussi pour réévaluer mes positions, prendre du recul, sortir du tourbillon et me retrouver un peu. Je ne veux jamais que la vie devienne terne, synonyme uniquement de travail, de comptes à payer et d'obligations de toutes sortes. Je suis peut-être idéaliste mais tant pis! Je refuse de vivre avec des regrets. Ce voyage, c'est le mien. Il sera à mon image. À NOTRE image. Et je compte bien en profiter au maximum. Parce que réaliser ses rêves, c'est aussi ça la vie!
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Martin Coutu 28 ans
Expériences de voyage pertinentes:
- 1 an en France (1988-1989)
- 2 mois en Europe (11 pays) avec le groupe GFK (hiver 2003) et tournée pan-canadienne et ouest-américaine (hiver 2005)
- Voyages de snowboard de 3 semaines chacuns en Alaska, Rocheuses canadiennes et américaines, Russie, Bulgarie, Roumanie, Turquie (2007 à 2011)
- Voyages multiples en Colombie (2003), Angleterre (2004, 2005 et 2011), Pologne (2003, 2004 et 2006), Irlande & Écosse (2004), Polynésie Française (2005), Hong Kong & Macau (2005), Jamaïque (2005), République Tchèque, Autriche & Slovakie (2006), Japon (2010), Pays-Bas (2011)
Voyages avec Emilie:
- 2 semaines en Islande (été 2008)
- 2 semaines en Espagne et au Portugal (été 2009)
- 1 semaine à Hawaï (automne 2010)
- 1 semaine en République Dominicaine (Nouvel An 2011)
Ce qui va te manquer le plus La poutine Ashton
Ce qui va te manquer le moins La chanson On va s'aimer encore de Vincent Vallières
Tes appréhensions Passer trop de temps dans les hôpitaux avec Emilie
Ta plus grande peur Qu'Emilie rencontre un joli néo-zélandais
Ta meilleure qualité, qui te servira pour le voyage Ma capacité à prendre les problèmes à la légère au lieu de paniquer
Ta dernière lecture Ma carte d'embarquement
Ce que tu souhaites améliorer Prendre le temps de relaxer au lieu de m'occuper tout le temps
Ton plus grand défi Réussir à travailler en voyage
La musique qui va t'accompagner La musique locale du moment
Ta plus grande hâte Surfer la Nouvelle-Zélande, autant les vagues que les montagnes
Ton idole Yannick Cimon-Mattar et Pierre-Luc Fillion, les meilleurs partenaires de voyage que j'ai eus et qui n'hésitent pas à profiter de la vie.
En voyage, tu aimerais rencontrer Le Seigneur des anneaux
Ce que tu manges pour être beau de même Tout, sauf ce qui a un sourire. Et beaucoup de poutine. Ma beauté va en prendre un coup!
Ce qui t'inspire Les voyages, ça tombe bien!
Ce que tu crois découvrir sur l'autre Une agricultrice hors-pair
Pourquoi partir un an? Je crois que dès ma rencontre avec Emilie, nous avions déjà le plan de voyager toute une année. Emilie m'avait fait part de ce rêve et cela avait été plutôt doux à mes oreilles. Comme nous avions chacun déjà plusieurs voyages à notre actif, partir longtemps semblait tout simplement être la suite logique. Par contre, étant donné que j'avais une compagnie à m'occuper, je ne pouvais me permettre de partir plusieurs mois. Cela ne m'a tout de même pas empêché de partir une bonne quinzaine de fois à l'étranger (Europe de l'Est, Alaska, Russie, Japon, Hawaii, Pays-Bas, Caraïbes, Turquie, etc) durant les 5 ans qu'a vécu Sumo, et lorsque le temps est venu de fermer la compagnie, la seule idée que j'avais en tête était de finalement réaliser ce rêve. Cela allait d'autant plus m'aider à faire le deuil de sa fermeture puisque cela était survenu bien malgré moi. Me voilà donc avec le statut de travailleur autonome et pleinement disposé à partir où bon me semble tout en travaillant à distance. La meilleure job au monde quoi!
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